4 mars 2008
Finalement...
Finalement, plus de peur que de mal : les arbres n'ont pas tous été coupés, loin s'en faut... Je respire. Il me reste ma petite forêt en pleine ville. Mon ilôt. Ma parenthèse. Ma poésie à portée de vue. Je peux regarder à loisir le vent jouer entre les branches, observer le mouvement des nuages au-dessus des faîtes des arbres et être pour un temps en dehors du temps...
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